Les ensacheuses se répartissent en deux systèmes : horizontales ou verticales. Les modèles d’ensacheuses verticales sont davantage dédiés au secteur agroalimentaire. Elles sont surtout utilisées pour l’emballage primaire du produit, pour les féculents, légumes secs, produits surgelés, chocolaterie, confiserie, biscuiterie.
Dans le principe, le produit est versé par le haut grâce à un cône intégré à la machine. Celle-ci est équipée d’un système de pesée qui permet de définir précisément le poids à conditionner. Une fois celui-ci atteint, l’entonnoir s’ouvre pour guider la matière vers le sachet. Ce dernier est formé et soudé par l’ensacheuse verticale d’occasion. Après remplissage, il est scellé pour fermer l’emballage et ainsi préserver les aliments ou autres articles traités lors de cette opération.
Les avantages de l’ensacheuse verticale d’occasion
Le choix d’une ensacheuse verticale d’occasion présente plusieurs avantages. Le premier est économique avec un coût d’investissement maîtrisé, tout en accédant à un produit de grande qualité. La plupart des équipements sont également polyvalents. Ils permettent la fabrication de plusieurs formats de sachets pour s’adapter à vos commandes. Vous pouvez aussi employer plusieurs types de films.
Un autre atout de l’ensacheuse verticale d’occasion concerne ses dimensions. Son mode de fonctionnement la rend en effet compacte et donc facile à intégrer à l’atelier. Cette donnée est essentielle, vous permettant d’accéder à un produit de qualité, tout en bénéficiant d’un outil pratique dans son utilisation comme dans son entretien. Vous choisissez une machine brevetée pour garantir la performance de votre installation.
Le principe de l’ensacheuse verticale en détails
Les ensacheuses verticales sont couplées avec des dispositifs d’alimentation de type doseur à vis pour les poudres. Par exemple « poudre de lait » doseur pondéral, peseuse linéaire ou associative par exemple « biscuits-surgelés- légumes frais sous sachet 4eme gamme », ou simplement par doseur volumétrique ou dispositif de comptage. Elles peuvent être utilisés pour des groupages promotionnels, par exemple lots de « barres chocolatées ».
Si ce procédé peut paraître un peu compliqué, il suffit de l’illustrer pour mieux le comprendre.
On part d’une bobine, le film est déroulé à plat et il est mis en volume dans un outillage appelé « conformateur à col de cygne » ce système est également dit FFS- Form-Fill-Seal. Les machines fonctionnent en intermittent ou en continu.
Après mise en forme du tube, on effectue une soudure longitudinale et horizontale, c’est généralement une chauffe thermique permanente pour les films complexe et polypropylène, une soudure par impulsion pour les films PE (polyéthylènes).
Le sachet à 3 soudures est de type « coussin » pour le plus courant, à fond plat, à soufflets, en chapelets, avec ou sans trou européen.
Le film peut être neutre ou imprimé, la lecture se fait par une cellule qui détecte un spot imprimé sur le film, d’où l’expression « film imprimé repéré ou placé ».
Ces machines sont de conception mécanique avec commande par automate programmable, cependant le moteur « brushless » qui permet souplesse de programmation et temps de changement performant, tend à se généraliser du faite de sa fiabilité prouvé.
